La course de rentrée au pied des volcans !
Edwige :
2eme participation sur le 14km de la course des volcans, mais avec un nouveau parcours, les compteurs sont remis à zéro !
Jusque-là, je disais toujours que j'avais de la chance, car toutes les courses réalisées ont été au soleil.E
t bien, il faut une première à tout, et c'était ce week-end là, enfin disons précisément la matinée, et plus exactement entre 10h15 et 11h30, donc pile poil au moment du départ et de la course que la pluie s'invite à l'événement.
Une fois qu'on est trempé comme un rat, et qu'on a mis les pieds dans les trous d'eau (et oui, au début on essaie de les éviter, mais les berges sont glissantes, la terre s'affaisse, et plouf !), alors il n'y a plus qu'à courir et profiter du bon air des montagnes (dommage pour la vue inexistante sur les Puys à cause des nuages, et puis avec des carreaux plein de buée et de gouttes d'eau, ca n'arrange rien, sauf de trébucher encore plus !).
L'ambiance est quand même sympa, il y a des spectateurs courageux pour nous encourager, et des participants avec qui discuter et se challenger !
Le parcours est chouette, la seule grosse difficulté est la montée qui passe devant le bas des escaliers du Pariou. Jusqu'au dernier moment, j'ai espéré retrouver Maddy, mais elle était bien cachée !!
A l’arrivée, le soleil est de retour, et sera même très présent tout le reste de la journée (coquin celui-là, je crois qu'il a fait une partie de cache cache avec Maddy !).
Jamais deux sans trois, à l'année prochaine, pour faire honneur à l'une des plus vieilles courses du département (dixit le commentateur au micro!)
Maddy :
Carnet de bord – Course des Volcans, 14 septembre
- La veille : toujours pas décidée. Courir ? Pas courir ? Mon dossard prend la poussière.
- Dimanche 6h30 : nuit agitée, verdict sans appel : je renonce.
- 7h15 : je pars quand même, direction Orcines. Objectif : suivre deux pipelettes engagées sur le 26 km.
- Départ : pluie battante, ambiance “trail + option hammam”.
- Fontaine du Berger : les coureurs défilent, trempés mais vaillants. Pas d’Edwige en vue, mais beaucoup de jambes ruisselantes.
- Vulcania (km 10 et 18) : mes pipelettes papotent toujours, un peu moins fort peut être, mais ça tient la route. Moi, je traverse les cheires : parcours technique version “randonnée lunaire sous la pluie”.
- Arrivée : miracle, un rayon de soleil perce pour accueillir mes championnes. Elles franchissent l’arche trempées, crottées… et toujours bavardes.
Bilan : j’ai fait la course… sans courir. Version “ parapluie, reportage et encouragements”. Et franchement, c’était pas mal non plus !